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Migration/déplacement/rencontres-croisements

 

L’idée est dans un premier temps de penser cette proposition, expérience à travers le terme de résidence. J’entends résidence comme étant un moment dans mon activité où celle-ci se « produit » dans un lieu spécifique où j’ai été convié. Il s’agirait de côtoyer les élèves durant leurs heures d’atelier. Que se temps devienne aussi mon temps de travail.

 

Il s’agirait pour moi de confronter une démarche d’artiste à celle d’élève. De confronter des attitudes de travail, provoquer des regards, des dialogues, des questionnements/perplexités..

 

La forme, le travail en soi reste entièrement à construire, penser. 

 

Ce que m’évoque dans un premier temps le terme de migration, c’est une image de pied. Pied, poids du corps et de la marche. Il écrase, laisse une empreinte invisible sur le sol qui est le parcours du corps.

 

Migrer / parcourir / poser le pied…

 

Le travail se déplace, je me déplace. Il y a rencontre. Comment investir ce temps de rencontre fortuite et passagère ? de quoi s’investit ce temps ? que reste t-il ? que s’y produit-il ?

 

Parcours / déplacement / transit … Quel est le lieu du transit ?

Tubize/Tubeke

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